Cancer

Le régime alimentaire prend une part croissante dans la prévention et la lutte contre le cancer

C'est annoncé partout et même dans yahoo, les taux de cancers baissent aux USA.

Seuls quelques cancers (dont le mélanome et les lymphomes) progressent.

Celà est étonnant vu la polique de santé publique assez inexistante, mais qui couvre toutefois le dépistage.

Une possible piste de réflection pour améliorer l'efficacité du système français en jouant sur la balance du remboursement prévention/traitement au profit de la prévention.

Voici une belle explication de la BBCsur le cancer du pancréas.

Des rappels physiologiques, épidémiologiques, sémiologiques et anatomo-pathologiques - tout ce qu'il faut pour expliquer clairement aux patients cette maladie.

Dommage que la présentation soit si brève et si peu didactique : le ton général reste trop scientifique et peu compréhensible pour le patient lambda.

D'après la plus large étude jamais menée sur le personnel naviguant des avions, le risque de mélanome est 2 fois plus grand, et le risque de cancer du sein 1 tiers plus grand.

Il semble que le PSA et ses nombreuses variantes ne soient plus les seuls marqueurs biologiques d'intérêt dans le cancer de la prostate.

Le PSA, le PSA rapporté à l'âge, le PSA libre, la vitesse de PSA (...) pourraient bientôt laisser une petite place sur les bilans biologiques pour l'IGF-1, facteur de croissance proche de l'insuline, et l'IGFBP-3, protéine de liaison de ce facteur de croissance.

En effet, le dépistage uniquement par le PSA peut ignorer 25% des patients porteurs d'un cancer de la prostate (le test est dit « peu sensible ») et donner de faux positif, le PSA pouvant augmenter pour diverses raisons non cancéreuses dont l'âge et les infections bactériennes dites prostatites (le test est dit « p! eu spécifique »).

Voici un article intéressant de QxHealth.net

Y est discuté le mécanisme d'action des AINS, qui ont prouvé un effet non négligeable en prévention du cancer colo-rectal.

Contrairement aux autres théories précédemment avancées, on dispose cette fois d'un niveau de preuve intéressant pour pouvoir affirmer que le mode principal d'action est l'induction d'apoptose.

Voici un dossier de la BBC sur le cancer de la peau, particulièrement bien réalisé.

Y sont rappelés certains faits importants, notamment épidémiologiques :

Oncoloyfait ici un résumé de bonne facture sur les difficultées psychologiques rencontrées par un patient se faisant diagnostiquer un cancer.

Les moments les plus intenses émotionellement seraient le diagnostic initial, le premier traitement et les diagnostic de rechutes.

L'article conclut sur la nécessité et la présence d'associations d'aide aux cancéreux.

Marie Claude écrit "Je ne sais pas si je m'adresse dans la bonne messagerie, mais je me permets de vous écrire, car je voudrais avoir des renseignements sur ma maladie, je n'arrive pas à trouver des personnes qui sont dans le même cas que moi ; je suis sous chimiothérapie orale (hydréa).

Cette procédure auto-diagnostique du cancer du sein, fort répendue et faisant l'objet d'un vaste consensus dans la profession a été étudiée avec précision au Canada.

Selon l'association médicale canadienne, l'autoexamen amènerait trop de faux positifs et donc de biopsies inutiles, et devrait être remplacé par un examen médical.

La fondatrice du Réseau québécois pour la santé du sein, Huguette Martin, continue elle à croire en ce mode de diagnostic.

Le corps pour fonctionner correctement est organisé en différents organes. Chaque organe a un rôle précis. Les organes sont constitués de cellules donnant à ces organes leurs caractéristiques fonctionnelles. Les cellules acquièrent ces compétences particulières au cours de la différenciation. Maintenant imaginons que ces cellules reviennent à l’état initial ou bien encore expriment des caractéristiques différentes ; c’est l’anarchie.

Dans cet article d'oncology.comon apprend que le traitement conservateur du cancer du sein n'augmenterait pas le risque de récidive.

Celà pourrait signifier une importante modification dans la prise en charge des patientes : en effet, la mastectomie totale a longtemps été préférée à la mastectomie partielle « conservatrice », malgré les effets psychologiques néfastes, au nom d'un risque sinon plus élevé.

Le traitement testé à Yale associe une radiothérapie à une mastectomie partielle, avec un essai sur 2000 patientes en comparaison avec la méthode de référence et un écart de résultats statistiquement significatif : cancer secondaire chez 19% des patientes à mastectomie totale, contre 17.! 5% chez les patientes traitée de manière « conservatrice ».

Un autre fait important : le suivi, de l'ordre de 15 ans, pourrait aussi signifier l'absence d'effet carcinogène de la radiothérapie.

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