L'aponévrose postérieure du petit oblique, qui répond aux faisceaux les plus reculés du muscle, a ceux qui s'insèrent sur la douzième cote, se porte en arrière et en bas et ne tarde pas à se réunir avec celle du grand dorsal, qui la recouvre. Quoiqu'intimement fusionnée avec cette dernière aponévrose, on peut parfois la suivre, en se guidant sur la direction de ses fibres, jusqu'aux apophyses épineuses de la dernière vertèbre lombaire et de la première sacrée.