Cette procédure auto-diagnostique du cancer du sein, fort répendue et faisant l'objet d'un vaste consensus dans la profession a été étudiée avec précision au Canada.
Selon l'association médicale canadienne, l'autoexamen amènerait trop de faux positifs et donc de biopsies inutiles, et devrait être remplacé par un examen médical.
La fondatrice du Réseau québécois pour la santé du sein, Huguette Martin, continue elle à croire en ce mode de diagnostic.