Les accords existent à toutes les échelles, ce que nous rapelle très justement cet article de Nature.
On les connaissait à l'échelle cellulaire chez les métazoaires, nécessaires pour une croissance harmonieuse et un équillibre entre les cellules naissant et celles disparaissant.
Mais voilà que l'on les découvre aussi chez les êtres unicellulaires pour lesquels on croyait que seul la loi « du plus fort » existait !
Chez les Saccharomyces cerevisiae par exemple, la communication se fait par NH2 pour dire « il n'y a plus de place, ralentissons notre croissance ».
Le message échangé entre les colonies fonctionne selon un gradient et permet une couverture optimale de l'espace.
Pas mal pour des levures non ?