Le carpe, unissant l'avant-bras au métacarpe, forme le squelette du poignet.

Massif osseux allongé transversalement, le carpe mesure 3 cm de hauteur sur 5 cm dans sa plus grande largeur (Les chiffres précis, d'après des mensurations faites sur dix sujets, sont en moyenne: hauteur, 32,5 mm; largeur 49,3 mm).

 

Le carpe est formé par l'assemblage de huit petits os, disposés en deux rangées transversales. Il présente une face antérieure, concave, formant une gouttière profonde dans laquelle glissent les tendons des muscles fléchisseurs des doigts ; une face postérieure convexe transversalement, concave de haut en bas on voit sur ces deux faces les lignes de réunion des divers os. Le bord supérieur du carpe est convexe, en forme de condyle à grand axe transversal il s'articule avec le squelette de l'avant-bras. Le bord inférieur, plus long, sinueux, s'articule avec la partie supérieure des os métacarpiens. Les bords latéraux, l'un externe ou radial, et l'autre interne ou cubital, sont tous les deux concaves et rejetés en avant.

En somme, le carpe est une gouttière osseuse, à concavité antérieure, formée par l'assemblage de huit os; ceux des os qui sont placés aux extrémités transversales se déjettent légèrement en avant et se hérissent de saillies qui constituent les bords ou lèvres de la gouttière,

Les huit os du carpe sont disposés en deux rangées : l’une supérieur ou antibrachiale ; l'autre inférieure, ou métacarpienne. Chacune d'elles est composée de quatre os ceux de la rangée antibrachiale, énumérés de dehors en dedans, du radius vers le cubitus, portent les noms de scaphoïde, semi-lunaire, pyramidal et pisiforme; ceux de la rangée métacarpienne sont le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l'os crochu.

Tous ces os, irrégulièrement cuboïdes, présentent six faces par quatre d'entre elles, ils s'articulent avec les os voisins les deux autres, libres, rugueuses, sont : l'une dorsale l'autre palmaire; les os placés à l'extrémité de chaque série n'ont, on le comprend, que trois faces articulaires. Tous ces os, pierres de la voûte carpienne, sont légèrement coniques, leur partie postérieure étant en général plus grosse que la moitié antérieure qui répond à la concavité de la gouttière palmaire.

Tels sont les caractères généraux des os du carpe; chacun d'eux présente, en outre, des caractères particuliers qu'il importe de décrire. Comme les os de chaque rangée s'unissent entre eux assez Intimement pour faire de cette rangée un tout anatomique et physiologique, je décrirai successivement 1° les os de la première rangée 2° les os de la seconde rangée.

Os du carpe de la première rangée

Ce sont de dehors en dedans le scaphoïde, le semi-lunaire, le pyramidal et le pisiforme.

Scaphoïde

C'est l'os le plus externe de la première rangée.

Placer en haut la plus convexe et la plus large des surfaces articulaires, en arrière la gouttière située au-dessous de cette surface, et en dedans la surface articulaire concave dans tous les sens.

La face inferieure, articulaire, est subdivisée en deux facettes par lesquelles cet os entre en contact avec le trapèze et le trapézoïde.

La face supérieure articulaire, convexe, inclinée en dehors et en arrière, s'articule avec le radius.

La face interne présente deux facettes articulaires l'une inférieure, grande, fortement concave, par laquelle le scaphoïde entre en contact avec la tête du grand os l'autre supérieure, petite, convexe, qui s'articule avec le semi-lunaire.

La face externe rugueuse, étroite, répond à l'apophyse styloïde du radius.

La face antérieure, rugueuse, triangulaire a sommet supéro-interne, s'élargit à sa partie inférieure et externe et donne insertion au court abducteur du pouce. Sur les confins de la face antérieure et de la face externe, on rencontre un gros tubercule, le tubercule du scaphoïde qui relève le bord externe de la gouttière carpienne, à laquelle il répond par sa face interne; il donne attache, sur sa face externe, au ligament latéral externe de l'articulation radio-carpienne (A). La face postérieure, très étroite, est réduite à un sillon transversal dont le fond est criblé de trous ce sillon est surmonté d'une crête qui lui est parallèle et qui donne attache à des faisceaux ligamenteux.

Varia

A. Sur la face antérieure, entre la facette articulaire radiale et le tubercule du scaphoïde, on peut voir une gouttière transversale qui se prolonge sur la face externe de l'os cette gouttière, qui a échappa jusqu'ici a l'attention des anatomistes, répond au trajet de l'artère radiale; on peut l'appeler gouttière de l'artère radiale.

Semi-lunaire

Intermédiaire au scaphoïde et au pyramidal dans la première rangée, il coiffe la tête du grand os de la seconde rangée. Cet os présente quatre faces articulaires.

Tourner en bas la face articulaire concave, on dehors la face articulaire en forme de croissant, en avant la face rugueuse la plus large.

La face supérieure, convexe, s'articule avec la facette quadrangulaire de l'extrémité radiale ; l'inferieure concave, coiffe la tête du grand os et s'articule aussi par une bande étroite avec l'os crochu l'externe s'articule avec le scaphoïde l'interne, avec le pyramidal, La face palmaire est convexe et rugueuse la face dorsale, très étroite, est représentée par un mince sillon criblé de trous.

Pyramidal

II parait terminer en dedans la première rangée, car le pisiforme ne continue point la direction transversale des trois premiers os, mais vient se placer en avant du pyramidal.

Placer en bas la face articulaire concave et triangulaire, en dedans le sommet de la pyramide, en avant la petite facette circulaire.

La face supérieure, convexe, entre en contact avec le ligament triangulaire ; l'inférieure, concave, s'articule avec l'os crochu; l'externe ; plane, répond au semi-lunaire; l'interne (je devrais dire l'antérieure), très déjetée en avant, présente une facette articulaire, plane, circulaire, pour le pisiforme.

La face palmaire est étroite et rugueuse la face dorsale est large, surtout en dedans: elle présente une crête saillante, transversale, la crête du pyramidal, séparant deux sillons criblés de trous; cette crête, qui aboutit en dedans à un tubercule assez gros, donne insertion à des faisceaux ligamenteux, et le tubercule qui la termine en dedans donne attache au faisceau postérieur du ligament interne de l'articulation radio-carpienne. Crête et tubercule sont souvent aplanis par le frottement du tendon du cubital postérieur.

Pisiforme

C'est un noyau osseux aplati de dedans en dehors.

Mettre en arrière sa facette articulaire, en dehors la face creusée d'une gouttière, en bas l'extrémité la plus volumineuse.

Il faut décrire au pisiforme une face interne, une face externe et un pourtour; en arrière, ce pourtour s'aplatit en une surface articulaire, presque circulaire, qui entre en contact avec la face interne (devenue antérieure) du pyramidal.

La face externe, qui répond à la gouttière carpienne, est lisse et excavée en gouttière par le passage de l'artère cubitale; la face interne donne attache à des faisceaux du court adducteur du petit doigt; la partie supérieure et antérieure du pourtour reçoit l'insertion du cubital antérieur ; de la partie inférieure partent des trousseaux ligamenteux très forts qui se rendent à l'os crochu et au cinquième métacarpien.

Le pisiforme placé sur un plan antérieur à celui des trois autres os de la première rangée fait partie du bord interne de la gouttière carpienne; il n'est pas situé sur la même ligne verticale que l'apophyse unciforme de l'os crochu, mais déjeté en dedans.

Le scaphoïde, le semi-lunaire et le pyramidal sont si étroitement unis entre eux qu'on peut les envisager comme un seul os dont la face supérieure, convexe, allongée transversalement, plus étendue vers la face dorsale que vers la face palmaire, s'articule avec l'avant-bras tandis que la face inférieure, concave dans sa plus grande partie, s'articule avec les os de la seconde rangée.

Os de la seconde rangée

Ce sont de dehors en dedans le trapèze, le trapézoïde, le grand os et l'os crochu.

Trapèze

Intermédiaire au scaphoïde et au premier métacarpien, le trapèze est de forme cuboïde.

Placer en bas la face articulaire conformée en selle, an avant la face rugueuse creusée d'une gouttière, et en dehors la lèvre saillante de cette gouttière.

Le trapèze présente une face supérieure par laquelle il s'articule avec le scaphoïde; – une face inférieure concave transversalement, convexe d'avant en arrière (en forme de selle) par laquelle le trapèze s'articule avec le premier métacarpien; une face interne articulaire, par laquelle il entre en contact avec le trapézoïde et le deuxième métacarpien; ces deux facettes sont séparées par une crête, l'inférieure est très petite; une face externe, rugueuse et criblée de trous, qui donne attache des ligaments et à un faisceau du court abducteur du pouce. La face antérieure présente une apophyse très saillante, recourbée vers l'axe de la gouttière carpienne dont elle forme la lèvre externe c'est l'apophyse du trapèze, sur la face Interne de laquelle descend verticalement une gouttière profonde dans laquelle passe le tendon du grand palmaire. La face postérieure rugueuse et criblée de trous, présente deux petits tubercules qui donnent attache des faisceaux ligamenteux unissant le trapèze au premier métacarpien.

Trapézoïde

Cuboïde, enclavé comme un coin entre les quatre os voisins, il s'articule par quatre facettes: avec le scaphoïde en haut, le deuxième métacarpien en bas, le trapèze en dehors, le grand os en dedans.

Placer en arrière, la face rugueuse la plus large, en bas la face articulaire divisée en deux par une crête mousse, en dehors la face qui présente une surface articulaire convexe.

La facette par laquelle le trapézoïde s'articule avec le deuxième métacarpien, configurée en selle, est reçue dans la fourche de cet os.

Les deux autres faces, la dorsale et la palmaire, sont rugueuses et d'étendue variable: la dorsale est beaucoup plus large que la palmaire; celle-ci donne attache à quelques faisceaux de l'adducteur.

Grand os

C'est le plus volumineux des os du carpe de forme cuboïde, il est allongé de haut en bas et légèrement aplati de dehors en dedans.

Placer en haut son extrémité arrondie en forme de tête, en arrière la face rugueuse la plus large, en dedans la face qui présente une facette articulaire plane ou très légèrement concave.

Il présente à sa partie supérieure une portion arrondie ou tête, séparée du reste de t'es ou corps, par une partie rétrécie, le col. La tête, aplatie latéralement, allongée d'avant en arrière, est reçue dans la cavité articulaire que forment la face interne du scaphoïde et la face Inférieure du semi-lunaire. La face externe s'articule avec le trapézoïde. La face interne, articulaire en arrière, où elle répond à l'os crochu, est rugueuse en avant où elle donne insertion à des ligaments interosseux qui la rattachent au même os. La face inférieure présente trois facettes articulaires contiguës, séparées par des crêtes plus ou moins marquées pour les deuxième, troisième et quatrième métacarpiens la facette moyenne (troisième métacarpien) est large et quadrangulaire la facette externe est étroite et longue la facette interne toute petite, triangulaire, située sur la face dorsale, répond à l'apophyse du grand os (voir face postérieure). La face antérieure (palmaire), creusée en haut d'une dépression transversale qui répond au col de l'os, présente dans le reste de son étendue un gros tubercule, rugueux, allongé verticalement. Sur la face postérieure, plus large, l'étranglement répondant au col est moins marqué au-dessous, cette face est rugueuse, criblée de trous elle descend plus bas vers le quatrième métacarpien ce prolongement de la face postérieure a reçu le nom d'apophyse du grand os.

Os crochu

Il a la forme d'un prisme triangulaire.

Placer en bas la surface articulaire en forme de selle, en avant la forte apophyse que présente l'une des faces, et en dedans la concavité de cette apophyse.

La face externe, située dans un plan vertical, s'articule avec le grand os; la face interne, qui descend obliquement vers le petit doigt, s'articule par une bande étroite avec le semi-lunaire, et par ses trois quarts inférieurs avec le pyramidal la face inférieure, articulaire en forme de selle, entre en rapport avec le quatrième et le cinquième métacarpiens. Les faces dorsale et palmaire représentent les bases du prisme la première est rugueuse; de la face palmaire se détache une apophyse recourbée en forme de crochet, l'apophyse unciforme. Aplatie transversalement, cette saillie répond par sa face externe à la gouttière carpienne sa face interne et son bord inférieur sont creusés d'une gouttière au niveau de laquelle se réfléchit l'artère cubitale profonde (cubito-palmaire).

Nous voyons en résumé : 1° que les os des deux rangées carpiennes, articulés entre eux par des facettes planes, sont étroitement unis; 2° que les deux rangées s'articulent l'une avec l'autre et qu'elles présentent pour cette articulation deux surfaces inversement conformées trois facettes, appartenant au scaphoïde, au semi-lunaire et au pyramidal (première rangée) se réunissent enferment une cavité dans laquelle vient se loger un condyle volumineux formé par le grand os et l'os crochu; d'autre part, et inversement, la surface articulaire convexe du scaphoïde (première rangée) est reçue dans une cavité peu profonde, creusée sur la surface supérieure du trapèze et du trapézoïde (deuxième rangée).

Ossification. Chacun des os du carpe présente, un seul point d'ossification apparaissant après la naissance. Pour le grand os et l'os crochu, le point d'ossification apparait dans la première année. Les points d'ossification des autres os carpiens apparaissent dans l'ordre suivant pyramidal (deux ans et demi à trois ans) semi-lunaire (quatre cinq ans): trapèze. (cinq ans) scaphoïde (cinq ans et demi) trapézoïde (six ans) pisiforme (huit a dix ans). Rambaud et Renault décrivent deux points d'ossification pour le scaphoïde, et un point complémentaire pour l'apophyse unciforme de l'os crochu (V.fig.175).

Tous ces points affectent une forme arrondie jusqu'au moment où leurs facettes s'étendent pour prendre leur forme définitive.

Architecture. Ce sont des os courts, formés d'une masse de tissu spongieux envelopPée d'une, mince coque compacte tes travées principales du tissu spongieux sont parallèles a l'axe du membre supérieur. Ils sont très vasculaires de nombreux orifices percent leur surface. Leur structure est particulièrement favorable à l'évolution du processus tuberculeux.

Varia. Persistance de l’os central du carpe. On rencontre parfois, sur la face dorsale du carpe, au point de réunion du scaphoïde, du trapézoïde et du grand os, un nodule osseux pyramidal, mesurant de 4 à 5 millimètres de largeur au niveau de sa base ; tantôt il est fixé par des tiens fibreux aux autres os, tantôt il est articulé avec le scaphoïde.

Cette anomalie est des plus intéressantes elle rapproche la main de l'homme de la main typique et fournit un appoint sérieux à la doctrine de l'évolution. En effet, l'os central qui se rencontre d'une façon a peu près constante dans la classe des mammifères, semble faire défaut chez l'homme, le gorille et le chimpanzé. Ce n'est la qu'une apparence, car l'os central, sa retrouve si l'on vient à examiner des carpes en voie de développement dans la première moitié du deuxième mois, comme l'ont démontré les recherches de Henke (1874), de Rosembcrg (1876) et celles plus récentes de Leboucq (Arch. de Biologie, de Van Beneden et Van Bambeke, 188.t, page 38). J'emprunte à cet excellent travail les détails suivants, avec bibliographie complète.

A la fin du troisième mois de la vie fœtale, l'os central n'existe plus comme partie distincte.

Rosemberg avait expliqué cette disparition du central carpien par atrophie; Henke, Reyer et Leboucq ont démontré qu'il ne disparait pas par atrophie, mais qu'il se soude avec le radial du carpe pour former le scaphoïde. Leboucq a cherché et trouvé des vestiges de cette soudure sur le scaphoïde complètement dévoloppé. Si l'on examine une série de scaphoïdes d'adulte, on remarque une assez grande diversité de formes: les uns présentent une encoche dorsale plus ou moins profonde et paraissent étranglés en leur milieu (c'est la forme en biscuit de (Grüber, 70%); les autres montrent un bord dorsal rectiligne et prennent un aspect plus massif (forme parallélogrammique de Grüber, 30%). Grüber met cette forme parallélogrammique en rapport avec la soudure du central ; ce sont des scaphoïdes échancrés, dont l'angle s'est effacé par suite de l'addition de l'os central parfois, on retrouve la travée de cette soudure sous forme de sillon ou de fissure. Sur d'autres scaphoïdes on trouve à la place de l'angle rentrant un tubercule saillant : ce tubercule occupe la place du central qu'il représente, et sa soudure avec le corps de l'os est plus ou moins complète. Leboucq; conclut que, dans la majorité des cas on peut retrouver les vestiges du central : sa soudure se fait de la paume vers le dos de la main. Les cas de persistance de l'os central sont rares depuis 1868, époque à laquelle W. Cruber a signalé et étudié le premier cas de central persistant, jusqu'au 17 avril 1885, le savant professeur de Saint-Pétersbourg a étudié 5292 carpes et n'a trouvé que 22 cas d'os central persistant ; depuis cette date, Friediowsky, Vincent (sur un arabe), Turner, Ruge, Leboucq ont apporté de nouveaux cas.

Grüber a encore décrit des cas de persistance du deuxième central, et Albrecht a pu compter jusqu'à 3 centraux.

Avant les travaux de Gegenbaür, on prenait comme type pour la détermination des paries constituantes du carpe, la disposition de ces parties chez l'homme alors l'os central, presque constant chez les mammifères, était considère comme une production surnuméraire, résultant du partage du trapézoïde ou du grand os (Cuvier), ou du scaphoïde (Meckel, Owen, de Blainville, etc.). Gegenbaür (Carpus and Tarsus, 1864, Gliedmaassenskelet der HnaUosaurier, 1870) montra l'importance de cet os, un des éléments de la main typique.

Hd. Cuyer (sur un os surnuméraire du carpe humain, Bull. de la Soc. d'Anthrop., 1887, pages 303-306) a trouvé un os surnuméraire sur la face externe du trapèze cet os s'articulait aussi avec le premier métacarpien. L'auteur regarde cet os comme un métacarpien rudimentaire qui ne se serait pas soudé avec la première phalange du pouce (le premier métacarpien classique).

Signification morphologique du pisiforme. On a longtemps considéré le pisiforme comme un os sésamoïde. Les recherches de Leboucq (loc. cit.) ont prouvé que le nodule cartilagineux du pisiforme était diu'érencié et formé à côté des autres éléments du carpe sur la main de fœtus de 12mm 1/2, alors que les muscles n'étaient pas encore différenciés à l'état d'organes distincts le nodule cartilagineux, formé avant l'apparition du tendon du cubital antérieur, ne peut donc être considéré comme un sésamoïde développé dans ce tendon. Ces recherches sont venues confirmer les vues générâtes de Gegenbaür (loc. cit.) qui avait antérieurement montré que le pisiforme devait être compté « parmi les éléments du carpe, et considéré comme l'homologue d'un rayon, fortement réduit, de la nageoire primitive ».

 D'après Traite d'Anatomie humaine P.Poirier.

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