Médecine

Les infections respiratoires sont très fréquentes: on dénombre 2 millions de cas par an aux USA. Les agents étiologiques les plus fréquents sont par ordre décroissant: les virus essentiellement, les bactéries et les champigons.

 

Les marqueurs biologiques fournissent de nombreux renseignements pour le dépistage et le suivi des cancers.

 

La structure des bactéries explique l'action de certains antibiotiques, mais aussi la capacité des bactéries à se défendre.

En dehors de l'action des traitements, l'évolution d'ensemble des cancers de l'homme dépend de trois facteurs :

  • les uns tiennent à la maladie cancéreuse,
  • les autres dépendent de l'hôte et des relations qu'il entretient avec la tumeur,
  • les derniers sont d'ordre médical : précocité du diagnostic et efficacité thérapeutique.

Ces trois protagonistes interviennent de manière très variable et de ce fait, il n'existe pas d'évolution stéréotypée.

Sur le plan pratique différentes étapes précèdent le diagnostic bactériologique. La qualité du diagnostic est étroitement liée à ces étapes.

Certains cancers humains sont associés aux virus.

Les antibiotiques sont des composés chimiques naturels ou de synthèse ayant la propriétés, à faible concentration, d’inhiber la croissance bactérienne ou de détruire les bactéries.

 

Ce sont soit des substances produites par des micro-organismes (comme des champignons : Penicillium), soit des composés de synthèse utilisant un noyau d’origine naturelle, ou de synthèse pure.

La prévention du cancer est une démarche réfléchie, basée sur une méthode qui repose sur l'observation de l'évolution de la maladie.

 
 
 
 
 

Un certain nombre de partenaires vont rentrer en jeu dans le cadre de la génétique bactérienne. Ce sont : les chromosomes circulaires,  les plasmides, les bactériophages (apportent des gènes supplémentaires), les transposons (apportent des séquences d'insertion) et les îlots de pathogénicité (apportent 1 ou 2 gènes et peuvent se mobiliser)

 
 
 

 

Le mèsothéliome est un type de cancer impliquant les tissus mésotheliaux des organes du corps, généralement au niveau des poumons ou de l'abdomen. Il est souvent provoqué par exposition à l'amiante. Cependant, il y a de 30 à 50% de patients sans antécédents d'exposition à l'amiante.   

Les gens qui ont subit une exposition à l'amiante  à très faible doses ont un risque de cancer de la plèvre. Même les personnes ayant nettoyé des vêtements de personnes ayant été en contact avec l'amiante ont un risque de développer un mésothéliome.  Une personne exposée à l'amiante pourrait développer un mèsothéliome 50 ans après l'exposition. 

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